Dans notre vie moderne, la pollution atmosphérique provient principalement des rejets toxiques de l’industrialisation dont l’homme est le chef d’orchestre, et ce, depuis qu’il dispose d’énergies modernes (fossilaires ou renouvelables) dont il use sans modération.
Toute combustion (combustible-carburant) produit des gaz nocifs qui, une fois émis en grande quantité, ne peuvent être supportés par l’être humain. Qu’est ce qu’un moteur ? C’est un convertisseur d’énergie thermique en énergie mécanique.
Nous les classerons par ordre de pollution :
Explications sur le Bien Fondé de la TECHNOLOGIE
A9 ©
En 1988, la TECHNOLOGIE
A9 © voit le jour, tout
simplement en partant du
constat suivant : Les véhicules qui roulent s’usent & ceux qui ne roulent pas (à l’arrêt prolongé)
s’abîment.
Pour une simple & unique raison : l’huile s’acidifie & perd ses qualités très rapidement (déjà dès
les premiers jours, même un fût d’huile, une fois ouvert, commence à voir son huile s’acidifier).
Lorsque l’on roule, cette acidité est évacuée dans l’atmosphère. Lorsqu’on ne roule pas, l’acidité
reste dans le moteur & commence lentement à détériorer les masses métalliques. Comment un tel
phénomène se produit-il ?
Prenons le schéma suivant dans lequel
Le cercle externe représente
notre atmosphère
Le cercle intermédiaire représente
le lubrifiant normalisé
Le cercle central représente
la masse métallique
Dans le cas de n’importe quelle chaîne cinématique mécanique (moteur,
transmission, circuit hydraulique etc…), ces trois éléments sont en
présence.
L’huile est toujours en contact avec le métal dans une atmosphère contenant
plus ou moins d’humidité.
RÉSULTAT : On obtient peu à peu un milieu acide. Cette
acidité est la 1ère cause des détériorations que va enregistrer la mécanique
dans le temps.
C’est à partir de ce constat qu’est née la TECHNOLOGIE
A9 ©.
Pour faire disparaître cette acidité, il faudrait pouvoir isoler l’un des trois éléments
cités
ci-dessus.
Il est impossible d’éliminer le lubrifiant. Il a un rôle évident de lubrification mais
aussi, il
permet le refroidissement interne du moteur & assure aussi son nettoyage par sa détergence.
Il faut
rappeler que le lubrifiant est normalisé & que si l’on y touche, on perd toutes les
garanties
offertes par les constructeurs.
Autrement dit, lorsqu’on ajoute un additif du commerce, on modifie le lubrifiant normalisé &
les
conséquences qui en découlent sont les suivantes :
Il est impensable de modifier facilement la structure
de l’atmosphère voire même de la supprimer. Elle est essentielle à la
combustion pour les moteurs et à la respiration pour la nature humaine.
Il est tout aussi absurde de vouloir remplacer la structure métallique
actuelle des moteurs ou des transmissions. En revanche, une intervention
est toujours possible à ce niveau, et c’est précisément ce qui a été
fait.
En isolant le métal, ce dernier ne sera ni en contact avec l’huile ni
avec l’atmosphère. Pour ce faire, on va donc, par le biais du lubrifiant
& grâce à la température fournie par la friction mécanique, former sur
la surface du métal un film ultra fin & extrêmement résistant qu’on
appellera le FILM RÉMANENT parce qu’il ne s’en va
pas.
En agissant ainsi, ce FILM RÉMANENT va recouvrir toutes
les surfaces métalliques qui sont aussi en contact avec d’autres surfaces
métalliques. On obtiendra alors uniquement un frottement des pièces
métalliques en mouvement film contre film puisque la friction mécanique
ne s’effectuera plus métal contre métal. Le film va agir comme le ferait
la peinture sur un mur qui isolerait ce dernier des intempéries.
En résumé la surface métallique sera isolée de
l’huile, évitant ainsi la création de la réaction acide.
Pour que cela soit viable, il faut que le FILM RÉMANENT soit extrêmement
fin pour ne pas modifier les caractéristiques de la surface métallique.
C’est pourquoi le FILM RÉMANENT généré par la TECHNOLOGIE
A9 © à une épaisseur de 0,1
µ (micron), soit 1/10.000 de millimètre, ce qui nécessite un microscope
électronique pour être observé.
Sa formation est automatique dès que la température de fonctionnement
atteint 43° Celsius.
Dès la mise en place du FILM RÉMANENT,
le couple acide ne peut plus se former & la cause de la détérioration
disparaît du même coup.
En 1991, le 1er brevet est déposé & la TECHNOLOGIE
A9 © devient alors le 1er moyen
d’isoler une masse métallique en mouvement de son milieu ambiant constitué
par un lubrifiant. Cette nouveauté sera considérée par les spécialistes
en la matière comme le troisième volet dans l’histoire de la lubrification
des temps modernes parce que la TRIBOLOGIE (Loi de
la friction mécanique) sera grandement améliorée, d’une part, entrainant
une meilleure STŒCHIOMETRIE (l’étude des proportions
suivant lesquelles les corps se combinent entre eux) donc moins d’émissions
de polluants, d’autre part.
En effet, avec l’apparition des premières huiles
monogrades (qu’on appelle aussi SAE 30, 40, ou encore SAE 50) au début
du XXème siècle, puis la généralisation des huiles multigrades dans
la seconde partie du XXème siècle (qu’on appelle aussi 20W40, 15W40,
10W40, 5W40, etc…), et les huiles multigrades actuelles à bas taux de
cendres ( LOW SAPS) dont les process fluides sont : 0W20, 0W30, 0W40,
5W20, 5W30 etc… Voici maintenant qu’à l’aube du XXIème siècle, la génération
des huiles filmogènes arrivent sur le marché. Ce sont tous les lubrifiants
qui contiennent la TECHNOLOGIE A9 ©, qu’ils appartiennent à
la catégorie des monogrades ou encore celle des multigrades, ils sont
de toutes façons filmogènes.
SYSTEME DOLBY ©
Pour imager ce qui vient d’être énoncé, on peut dire que la TECHNOLOGIE A9 © est au lubrifiant ce que
le SYSTEME DOLBY est aux organes de reproduction acoustique
: INDISPENSABLE.